Dans un texte mis en ligne à 10 h 45 sur une plateforme internet proche des milieux libertaires et anticapitalistes, des contributeurs anonymes ont revendiqué l’attaque contre le site d’Enedis à Seyssinet-Pariset.
“Ce texte est bien la “revendication” de l’attaque des “véhicules” d’Enedis . Qui a eu lieu dans la nuit du 12 au 13 janvier 2020 à Seyssinet-Pariset (à côté de Grenoble) », indiquent les auteurs du texte, qui fustigent « la vague de perquisitions qui a déferlé fin novembre 2019 à Grenoble, Fontaine et sur la ZAD de Roybon”.
Un mode de revendication classique pour la nébuleuse libertaire, visée par une commission rogatoire qui concerne près de 25 actes de dégradations, dont une grande partie par incendie. Les incendies des gendarmeries de Grenoble et Meylan, de l’église Saint-Jacques, de la radio France Bleu Isère, de la Casemate à Grenoble, de la mairie de Grenoble, de la société Eiffage à Saint-Martin-d’Hères, ainsi que l’incendie de véhicules sur le site d’Enedis Grenoble en 2017 sont concernés.