Sophia Seco, directrice générale, de la Fédération nationale de victimes d’attentats et d’accidents collectifs (Fenvac) : “Après les attentats, nous avons reçu près de 300 personnes en entretien. Une seule personne, dans une famille endeuillée, a fait des amalgames (NDR : avec l’islam).
Elle était sans filtre et ça m’a marqué, parce qu’elle était un cas isolé. (…)
Aujourd’hui, elle est beaucoup plus mesurée. Elle est revenue naturellement à la raison car elle n’a pas été instrumentalisée, ce qui peut être facile sur des personnes vulnérables”