“Qui ne connaît pas M. Mellah dans les rues de Nevers ? Surtout les femmes…
[…]Trente-deux mentions à son casier
Le casier judiciaire de Salah Mellah est fourni. Depuis 1992, il a été condamné plus d’une trentaine de fois et à plusieurs reprises pour des violences. Aucun suivi ordonné par la justice n’a porté ses fruits. Même les obligations liées à son inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles et violentes ne sont pas respectées.
Le procureur est pessimiste sur les capacités de réinsertion d’un “prédateur à l’instinct de chasse chevillé au corps”. Il requiert cinq ans de prison. “Il se pose la question de remettre un prédateur sexuel dans la nature ou de protéger durablement la société.” Salah Mellah est condamné à deux ans et demi de prison.
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