Les réfugiés syriens arrivés il y a quatre ans en Atlantique s’intègrent bien à la société canadienne. La plupart ont trouvé du travail, malgré certaines barrières sur les plans de la langue et de l’éducation, et leur niveau de vie s’améliore. Mais l’écart demeure important avec la moyenne des familles canadiennes.
Selon un rapport du ministère d’Immigration, réfugiés citoyenneté et en juin 2019, 57 % des réfugiés syriens travaillent alors que 23 % cherchent de l’emploi.
[…]Feras Al-Motaweh a aussi sa propre compagnie de taxi à Moncton qui, selon lui, marche très bien.
Il possède maintenant sept voitures de taxi et donne du travail à des concitoyens de son pays d’origine.
Beaucoup travaillent dans le domaine du taxi, ce qui est intéressant c’est que selon leurs horaires ils peuvent les adapter parce qu’ils ont plusieurs enfants et ils ont beaucoup de responsabilités
, explique Medhi Soudi du CAFI (