“Marie-Claire se souvient parfaitement du jour où on lui a amputé ce qu’elle appelle ‘la féminité’. Un village en Côte d’Ivoire, une porte fermée. Et elle, petite fille de 9 ans un peu perdue, qui se demandait pourquoi toutes les autres pleuraient.
[…]Elle vit depuis quelques années à Bordeaux, où elle a fondé l’association Les Orchidées rouges pour venir en aide à d’autres femmes qui ont subi une mutilation génitale. La France accueillerait 125 000 victimes d’après les estimations
[…]…c’est l’une des preuves que l’Hexagone est un “pionnier dans ce domaine”. D’autant que l’intervention est “prise en charge par le système de santé publique …
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