[…] « Il me disait : “je vais te tuer, je vais te faire crever.” J’ai mis mon avant-bras gauche devant mes yeux et j’ai frappé… »
« Je ne comprends pas les risques que prend Smaïl. Celui qui fuit, généralement c’est celui qui n’a pas le couteau », objecte le président. « Il n’avait pas peur, il fonçait vers moi », assure Anis, dont le récit ne colle pas non plus avec les constatations du légiste. Il indique aussi avoir jeté le couteau dans le couloir, lequel n’a jamais été retrouvé.
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