Un péril toujours présent. Au lendemain des fusillades racistes de Hanau, au cours desquelles neuf personnes ont été tuées, l’heure était au recueillement jeudi 20 février au soir en Allemagne. Le pays est confronté à une menace terroriste d’extrême droite de plus en plus pesante.
À Hanau, proche de Francfort, mais aussi Hambourg, à Berlin, comme dans une cinquantaine d’autres villes, des milliers de personnes étaient rassemblées contre la haine. “Cette attaque a provoqué un choc pour moi. En raison de son histoire, l’Allemagne doit être un exemple pour l’Europe et le monde”, a expliqué Patrick Knopke, 36 ans, venu se recueillir à Berlin, devant la mythique Porte de Brandebourg. Les manifestants y ont formé une chaîne humaine.
À Hanau, des milliers de personnes se recueillaient jeudi soir en silence, en présence du président de la République Frank-Walter Steinmeier. “Montrez de la solidarité !”, les a exhortés le chef de l’État.
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#Allemagne : le terroriste d'extrême-droite ayant tué dix personnes dont sa mère pensait être contrôlé par des agences officielles télépathes et que des bases américaines souterraines priaient le diable (MàJ) https://t.co/hQJysdQLuP pic.twitter.com/ZFPLg7OEuD
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« Le terroriste d’ #Hanau a plus à voir avec le #complotisme américain qu’avec l’extrême droite allemande traditionnelle. Il n'a rien à voir avec l'AfD » https://t.co/hQJysdQLuP pic.twitter.com/SiQi7nNBQh
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