14/03/2020
A few hours ago, the Greek authorities began to build a wall on the gate. #GreekBorders #Evros #Greece #GreeceUnderAttack pic.twitter.com/n6TWgy1KlL
— Nic 🇬🇷 (@NicAthens) March 13, 2020
13/03/2020
A few hours ago, the Greek authorities began to build a wall on the gate. #GreekBorders #Evros #Greece #GreeceUnderAttack pic.twitter.com/n6TWgy1KlL
— Nic 🇬🇷 (@NicAthens) March 13, 2020
New video: Total chaos at the #Greek–#Turkish border
Migrants are putting fire while they are trying to cut the fence.#Greek army on high alert#IStandWithGrecee #Greece_Turkey_Borders #Greece_under_attacκ pic.twitter.com/Pvxybt02gJ
— Andreas Mountzouroulias (@andreasmoun) March 13, 2020
12/03/2020
L’armée grecque utilise des ventilateurs géants pour renvoyer les gaz lacrymogènes lancés par les migrants en territoire turc.
La nuit dernière, des centaines de migrants essayant de quitter la Turquie et d’entrer en Grèce avaient pris d’assaut la barrière frontalière près du poste-frontière de Pazarkule-Kastanies et lancé des cocktails Molotov et des pierres sur les forces de sécurité.
La frontière entre la Grèce et la Turquie est plus fermée que jamais aux migrants. A Kastanies, à l’extrême est de la Grèce, des renforts venus de toute l’Europe sont arrivés ces dernières heures pour vérifier que le verrou frontalier ne saute pas.
Plus de 600 gardes-frontières ainsi que des véhicules militaires et de police allemands, portugais, hongrois ou polonais ont débarqué à l’appel du gouvernement grec.
11/03/2020
« Les migrants sont transportés par les turcs sur des véhicules militaires afin de passer l’estuaire de l’Evros. »
Les pêcheurs grecs patrouillent le long de la frontière avec la Turquie et informent les autorités en cas de mouvement dans la partie turque! pic.twitter.com/Oe8r0IkxTp
— 🇫🇷Nicolas חי🇮🇱 (@_samsonico_) March 10, 2020
🇹🇷🇬🇷 ALERTE – Des F-16 turcs ont survolé les terres grecques, notamment #Evros, lieu de crise migratoire entre la #Turquie et la #Grèce. (ΣΚΑΪ)
— Mediavenir (@Mediavenir) March 11, 2020
#Breaking – Video#Turkish F-16 flew over #Evros#IStandWithGrecee #Greece_under_attack #Greece_Turkey_Borders pic.twitter.com/ozxP1XjFTa
— Andreas Mountzouroulias (@andreasmoun) March 11, 2020
#Migrants : dans la région d'Evros, la droite grecque déroule le tapis rouge aux élus des partis anti-immigration européens https://t.co/jfJYa8ZGvx pic.twitter.com/emdowCjfIq
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) March 11, 2020
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a estimé qu'il n'y avait "aucune différence" entre les nazis et les autorités grecques repoussant des migrants qui cherchent à rejoindre la Grèce après l'ouverture des frontières par Ankara #AFP pic.twitter.com/d6GgHxmhXV
— Agence France-Presse (@afpfr) March 11, 2020
La police grecque (ELAS) s’inquiète d’une éventuelle poussée massive de migrants à la frontière, aidée par des fonctionnaires turcs.
Les inquiétudes de l’ELAS proviennent de témoignages de policiers et d’officiers des forces armées selon lesquels les forces turques ont ouvert une route parallèle aux rives de la rivière Evros pour aider les migrants à passer.
L’un des scénarios envisagés consiste pour les autorités turques à tenter de prendre par surprise les gardes-frontières grecs en transférant les migrants en masse, éventuellement à l’aide de bus, comme cela s’était produit au début de la crise à Kastanies.
Les craintes de la police grecque sont alimentées par des informations selon lesquelles, parallèlement à l’ouverture d’une route le long de la rive, de gros troncs d’arbres ont été déplacés, qui pourraient être utilisés par les migrants comme radeaux de fortune dans leurs tentatives de traverser la rivière.
10/03/2020
L’Autriche, la Pologne et Chypre envoient des dizaines de policiers et de garde-frontières en #Grèce. « Nous sommes le bouclier de l’Europe » https://t.co/EoOprONXrP pic.twitter.com/o9eR7G4Lac
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) March 10, 2020
Migrants intercepted by Greek army in Evros region pic.twitter.com/o9HHZmvkO6
— RT (@RT_com) March 10, 2020
#Greece's border guards put up razor wire at Turkish border to prevent migrants' crossing pic.twitter.com/cV7Ex4Vsj1
— RT (@RT_com) March 10, 2020
Le pêcheur dit avoir stoppé plusieurs dizaines de personnes: “La dernière fois c’était il y a trois jours. On a stoppé leur barque en pleine nuit on leur a dit : ‘Rentrez en Turquie, ici c’est la Grèce, la frontière est fermée'”. La nuit tombée ils sont armés. “Rien d’illégal”, assure à son tour Paris, prêt à tout pour intimider les migrants.
“C’est mon devoir, pour ma patrie et pour l’Europe. Les agriculteurs, les éleveurs, les chasseurs du delta de l’Evros, nous sommes tous ensemble pour repousser les migrants et barrer tous les accès”, clame Paris. Nikos et Paris assurent qu’ils continueront leurs traques tant que les autorités grecques auront besoin d’eux.
09/03/2020
Chaos at border | Migrants start fires and hurl rocks at Greek police pic.twitter.com/IgFooQqrGP
— RT (@RT_com) March 9, 2020
Des patrouilles de civils se sont constituées en Thrace pour aider l’armée et la police à verrouiller la frontière greco-turque.
(…) L’archevêque Iéronimos, le chef de l’Eglise orthodoxe grecque, est même venu rendre visite à ces hommes en patrouille pour les bénir… renforçant les sentiments nationalistes et anti-migrants.
(…) «Le gouvernement a permis à la population de prendre les armes pour chasser les réfugiés à la frontière», explique ce sexagénaire aux allures de pâtre grec. «Quand le premier ministre est venu mardi dernier, il a rendu visite aux gens du delta de l’Evros. Cela revenait à les conforter dans leurs actions», analyse-t-il
“Ici, il n’y a pas de loi. Nous ne laisserons personne passer en Grèce, pas un seul !”, dit Yorgos, qui est l’un de ceux qui gardent la frontière de la Grèce avec la Turquie, bien qu’il ne soit ni soldat ni garde-frontière. Comme des milliers d’autres ici.
(…) En outre, environ 4.000 citoyens grecs se sont armés et vont chasser les migrants.
EVROS, Grèce – Des fermiers et des retraités portent des vêtements noirs et de lourdes bottes, imitant les forces spéciales grecques, et marchent le long d’une route dans le cadre d’une patrouille de nuit à la recherche de migrants tentant de traverser la frontière avec la Turquie. Ils ont crié “On vous aura la prochaine fois !” à un groupe de migrants qui avaient réussi à passer et qui se sont enfuis.
(…) Aujourd’hui, la réaction majoritaire des habitants est l’hostilité ouverte. Le gouvernement grec de centre-droit a temporairement suspendu la procédure d’asile et s’est engagé à expulser sommairement les migrants qui franchissaient la frontière. Et les citoyens ordinaires, dont beaucoup en ont assez, prennent les choses en main.
Les villageois des villes frontalières forment des patrouilles civiles pour traquer les migrants. Des habitants de l’île ont mis en place des barrages routiers, d’autres ont attaqué physiquement des travailleurs humanitaires et des journalistes, les accusant d’aider les migrants à venir sur l’île.
“Nous n’en pouvons plus. Nous voulons retrouver notre vie.” Avec d’autres habitants, elle s’est rassemblée autour d’un petit feu sur le bord de la route, formant un barrage routier improvisé destiné à empêcher les migrants de traverser le village.
(…) “Depuis que nous nous sommes débarrassés des ONG, il n’y a plus eu de nouveaux migrants”, a déclaré un homme au barrage du village de Moria, à Lesbos. “Est-ce une coïncidence ? Non. C’est fini, nous reprenons le contrôle.”
08/03/2020
Migrants : quand des agriculteurs grecs veulent “protéger leurs frontières”
📊🇬🇷 Selon un sondage, 81% des Grecs soutiennent la politique du gouvernement de @kmitsotakis face à la crise des #migrants à la frontière turco-grecque.
Une même proportion de répondants soutient la fermeture de la frontière entre les deux États. https://t.co/MYJ11bAzHo
— Paul Cébille (@Ellibec) March 8, 2020
90% of Greeks approve of government‘s handling of crisis in #Evros; 81% agree with toughening of migration policy acc to poll published by @protothema. 92% of Greeks believe number of migrants in the country is „too high“, acc to poll for Sunday‘s edition of @Kathimerini_gr
— Giorgos Christides (@g_christides) March 8, 2020
07/03/2020
Un véhicule blindé turc tente d’abattre la clôture frontalière grecque.
A Turkish armoured vehicle with a rope attached to it was reportedly trying to pull down the Greek border fence this evening #Turkey #Greece pic.twitter.com/2lW3QuFypL
— CNW (@ConflictsW) March 7, 2020
Des gaz lacrymogènes et des bombes fumigènes ont été employés, ce samedi, en certains endroits de la frontière séparant la Grèce de la Turquie où sont rassemblés des milliers de migrants qui espèrent gagner le territoire de l’Union européenne.
Les projectiles ont été tirés depuis le côté turc en direction des policiers grecs réunis le long de la frontière, près du poste frontière de Kastaniés.
Overnight clashes at the #Greek–#Turkish border by migrants yelling "Allahu Akbar" – #Greek troops response by tear gas and water cannon. #IStandWithGreece #Greece_under_attack #Greece_Turkey_Borders #GreeceDefendsEurope pic.twitter.com/hahEsT5q0f
— Andreas Mountzouroulias (@andreasmoun) March 7, 2020
06/03/2020
Une semaine après l’ouverture des vannes de l’immigration par la Turquie, des dizaines de milliers de réfugiés attendent aux portes de l’Europe. Et la Grèce cherche à repousser par tous les moyens cette vague d’arrivées.
“La Grèce reste en état d’alerte”, observe ce vendredi 6 mars le quotidien de droite I Kathimerini. “Quelque 150 000 personnes attendraient de gagner les îles grecques. Près de 2 000 migrants ont réussi, une petite fille a été retrouvée noyée près de son embarcation de fortune. Mais ces derniers jours, il n’y a plus rien, ce qui inquiète les autorités”, ajoute le journal. Les vents marins ont en effet freiné les arrivées par les îles, où tentent déjà de survivre 40 000 réfugiés dans des conditions insalubres.
À Lesbos, les insulaires se disent à bout, alors que l’économie de leur île est en berne. “Des habitants de Lesbos s’en prennent ainsi aux ONG, et après avoir tenté d’empêcher une barque de migrants d’approcher du port de Thermi [nord de l’île], ils ont bloqué l’arrivée d’un bateau d’ONG”, relate To Ethnos, qui s’inquiète de l’escalade de violence parmi les habitants de cette île.
Turkish soldiers and Greek forces came face to face on the border fence. 🇬🇷🇹🇷 pic.twitter.com/XhilJLPecP
— Nic 🇬🇷 (@NicAthens) March 6, 2020
Dans le nord du pays, la situation est encore plus explosive. Des affrontements “entre policiers grecs et turcs éclatent plusieurs fois par jour, alors que les exilés tentent de franchir le mur de barbelés”, note To Vima. L’hebdomadaire de centre-gauche croit savoir que ce mur de 12 kilomètres qui sépare une partie des 220 kilomètres de frontière terrestre entre la Grèce et la Turquie “va être allongé de 30 kilomètres”.
En attendant, les patrouilles de soldats aidés par des milices citoyennes de la région se relaient jour et nuit pour bloquer tout passage par le fleuve Evros, assez étroit pour être traversé à la nage. Plus de 15 000 personnes ont été bloquées à la frontière avec ce dispositif.”
Video recorded from the Greek Coastguard vessel shows an incident in the Aegean Sea between the Greek and Turkish Coastguard. Looks potentially dangerous.
Video is Greek government handout. pic.twitter.com/gaIA1G89OH
— Daphne Tolis (@daphnetoli) March 6, 2020
05/03/2020
On croit rêver. Voilà le plan officiel annoncé par l'Union Européenne 🇪🇺 face aux #migrants:
– Assistance humanitaire
– Assistance en mer
– Procédures élargies de droit d'asile
– Budget immédiat débloqué pour construire de nouveaux hébergement de migrants#IstandforGreece 🇬🇷⤵️ https://t.co/xWCLS27cMo— Olivier Marteau (@MarteauOlivier) March 5, 2020
Viktor Orbán crie victoire. La position de la Hongrie contre l’immigration illégale est devenue l’approche généralement acceptée en Europe, a déclaré le Premier ministre Viktor Orbán au Sommet du V4 à Prague.
« Nous étions les premiers à prendre des mesures contre l’immigration musulmane », a ajouté le Premier ministre en référence à la barrière frontalière installée dans le pays en 2015.
Entre mercredi matin et jeudi matin, les autorités grecques ont empêché 6.955 migrants supplémentaires d’entrer illégalement en Europe.
👍La Pologne🇵🇱 répond à l'appel de la Grèce🇬🇷👏
"La #Pologne, en cas de besoin exprimé par la Grèce, est prête à envoyer 100 gardes-frontières & 100 policiers à la frontière gréco-turque", a déclaré le ministre de l'intérieur polonais Mariusz Kamiński. #IStandWithGreece https://t.co/YrBznROCJA— Patrick Edery (@patrick_edery) March 4, 2020
04/03/2020
Une vidéo d’une source officielle grecque montre la police turque en train de tirer des bombes de gaz lacrymogène en direction de la frontière grecque.
03/03/2020
La Russie déclare que la Turquie essaye de faire passer 130 000 migrants en Grèce, selon l’agence de presse Interfax, citée par le ministère russe de la défense. Les deux tiers de ces migrants sont des Afghans, des Irakiens et des Africains, et non des Syriens, a-t-elle ajouté.
De samedi matin jusqu’à mardi après-midi, les autorités grecques ont empêché 26.532 migrants venant de Turquie d’entrer illégalement en Europe.
Au total, 218 individus ont été arrêtées.
Lmao there's 3+ million migrants in Turkey who they're sending to Greece.
That's bigger than Operation Barbarossa, the biggest land invasion in human history.https://t.co/nvfYulsppV
— Convene The Grand Sanhedrin Fellow (@somefellow6) March 3, 2020
Des milliers de migrants ont cherché des moyens de traverser la frontière terrestre de la Grèce mardi (…)
Les autorités grecques ont déclaré avoir contrecarré la tentative d’un millier de personnes de traverser à la nage la rivière d’Evros, à l’extrémité sud de la frontière.
Entre lundi et mardi matin, les autorités ont empêché 5.183 migrants d’entrer en Grèce et arrêté 45 individus, pour la plupart originaires d’Afghanistan, du Pakistan, du Maroc et du Bangladesh.
Voir l’article :
02/03/2020
Les Grecs en ont marre et chassent les journalistes et les responsables d'associations immigrationistes !!#GreeceUnderAttack #Grece #Lesbos pic.twitter.com/rPHpE9PBzg
— pierrebxl (@pierrebxl) March 2, 2020
La décision de la Grèce de suspendre pendant un mois toute nouvelle demande d’asile face à l’afflux de migrants et réfugiés à sa frontière est dépourvue de “base légale”, a estimé lundi le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR).
“Ni la convention de 1951 relative au statut des réfugiés ni le droit de l’UE sur les réfugiés ne fournissent de base légale pour la suspension de la réception des demandes d’asile”, a indiqué le HCR dans un communiqué.
Un haut responsable turc a accusé lundi les autorités grecques d’avoir tué un migrant qui tentait de franchir la frontière entre les deux pays, dénonçant un acte “inhumain” qu’Athènes a démenti.
Une vidéo publiée par des médias turcs et qui n’a pu être vérifiée par l’AFP montrait un homme présenté comme un Syrien à terre, inanimé, le cou et le visage ensanglantés.
This is the first reported death among migrants trying to cross from Turkey to Greece.
One syrian man was shot dead by Greek border guards. Here is the video.@akhbar pic.twitter.com/LIM5L8d03h
— Jenan Moussa (@jenanmoussa) March 2, 2020
Avant la déclaration de M. Celik, les autorités grecques avaient rejeté l’authenticité des images. “Une vidéo montrant un mort à la frontière gréco-turque est une fake news”, a ainsi déclaré sur Twitter le porte-parole du gouvernement grec Stelios Petsas.
Turquie et Grèce. Les migrants arrivent aussi en taxi turc à la frontière. https://t.co/b7QbH0IaY2
— Lionel Baland (@LionelBaland) March 2, 2020
Un petit garçon est mort lundi au large de l’île grecque de Lesbos lors du naufrage d’une embarcation de fortune chargée d’une cinquantaine de migrants, a indiqué une porte-parole de la police.
(…) L’embarcation, en provenance des côtes turques voisines, “a été renversée par les personnes à bord après son entrée dans les eaux grecques, une habitude des passeurs pour déclencher une opération de sauvetage”, a indiqué un communiqué des garde-côtes.
#BREAKING New arrivals in #Lesvos #Greece as the sun rises pic.twitter.com/AR0a7YHKVQ
— Liana Spyropoulou (@LSpyropoulou) March 2, 2020
La route terrestre étant compromise, beaucoup de migrants tentent de franchir la frontière par la mer. Sur la journée de dimanche, 17 bateaux et 763 personnes ont débarqué sur l'île de Lesbos. #Turquie #Grèce
— Guillaume Perrier (@Aufildubosphore) March 2, 2020
01/03/2020
Tensions rise at #Greek–#Turkish border as #migrants and #refugees seek to enter Europe pic.twitter.com/dyjNNQbxpr
— Ruptly (@Ruptly) March 1, 2020
Grèce – Les migrants qui tentent de franchir illégalement la frontière terrestre de la Grèce ont peut-être échoué, mais, grâce à l’amélioration des conditions météorologiques, les arrivées sur les îles s’accélèrent.
Des sources ont indiqué à Kathimerini que, de 7 à 11 heures dimanche matin, plus de 400 migrants sont arrivés sur les îles de Lesbos, Chios et Samos.
Plusieurs centaines d’habitants sont réunis, très en colère contre les arrivées et le nv camp. La presse n’est pas bienvenue. Une habitante demande ma carte d’identité,me dit « on est à bout tt le monde nous ment, si vs voulez des informations, demandez au 1er ministre » #lesbos pic.twitter.com/qyY5g9Z14B
— Elisa Perrigueur (@ElisaPerrigueur) March 1, 2020
Au total, 16 bateaux ont débarqué sur les côtes grecques.
À #Lesbos près du camp de Moria, les habitants manifestent contre la venue de nouveaux migrants qui sont arrivés par bateaux ces derniers jours depuis la #Turquie pic.twitter.com/zuDFlxYy7T
— Elisa Perrigueur (@ElisaPerrigueur) March 1, 2020
(…) Des milliers d’autres migrants se sont rassemblés sur la côte turque, attendant leur tour pour traverser l’étroit passage vers les îles grecques.
La Grèce place ses frontières en état de sécurité maximale face à l'arrivée de milliers de réfugiés venus de Turquiehttps://t.co/CvkyEOgXSB pic.twitter.com/S7Z2pXtJlt
— franceinfo (@franceinfo) March 1, 2020
(…) Ils ont été rejoints dimanche matin par au moins 2000 migrants supplémentaires qui marchaient en file indienne à travers des champs en direction du poste frontalier de Pazarkule.
La Grèce a de son côté annoncé avoir bloqué l’entrée sur son territoire de près de 10 000 migrants en 24 heures. De samedi matin 5 heures à la même heure dimanche matin, « 9 972 entrées illégales ont été empêchées dans la région d’Evros », ont précisé les autorités grecques dans un communiqué de presse daté du poste frontalier de Kastanies, dans le nord-est de la Grèce. Samedi soir, l’ONU a chiffré à au moins 13 000 le nombre de migrants massés le long de la frontière entre la Grèce et la Turquie.
Number of refugees at Greek border keeps increasing. Sea crossings will be impossible to stop as weather improves
pic.twitter.com/a1yziecweZ— Bruno Maçães (@MacaesBruno) February 29, 2020
Quelque 13.000 migrants ont afflué au long de la frontière gréco-turque à la suite des menaces lancées par le président turc Recep Tayyip Erdogan de laisser sortir les réfugiés voulant se rendre en Europe, annonce l'Organisation internationale des migrations #AFP pic.twitter.com/v8grlwXn7q
— Agence France-Presse (@afpfr) February 29, 2020
Wenn sogar der linke ORF solche Bilder von der ABWEHRSCHLACHT zeigt, – dann brennt anscheinend wirklich der Hut! pic.twitter.com/6kcrehJwDb
— Heike HANK (@HEICKEEEE) February 29, 2020
29/02/2020
Alors que Recep Tayyip Erdogan a réaffirmé qu’il ne comptait “pas fermer les portes” de son pays aux migrants, les premières conséquences se font sentir aux abords de la frontière grecque.
Ce samedi matin, la Grèce a annoncé avoir empêché 4 000 migrants venant de Turquie d’entrer “illégalement” sur son territoire, a annoncé le porte-parole du gouvernement Stelios Petsas, après une réunion d’urgence avec le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis. “La Grèce a été confrontée hier (vendredi) à une tentative organisée, de masse et illégale de violation de nos frontières et l’a surmontée”, a-t-il dit.
Échauffourées à la frontière entre Turquie et Grèce
“Nous avons protégé nos frontières et celles de l’Europe. Nous avons empêché plus de 4 000 tentatives d’entrées illégales à l’intérieur de nos frontières”, a-t-il affirmé
28/02/2020
A la suite de la montée des tensions en Syrie, Ankara avait plus tôt affirmé que le pays « ne retiendrait pas » les migrants qui cherchent à rejoindre l’Europe. La Grèce a annoncé avoir renforcé ses patrouilles à la frontière.
Les forces grecques ont empêché, vendredi 28 février, des centaines de migrants de traverser la frontière depuis la Turquie, quelques heures après qu’Ankara avait menacé l’Europe d’ouvrir la porte aux réfugiés syriens hébergés en Turquie. Ce groupe de migrants est bloqué dans la zone tampon du poste frontalier de Kastanies, à l’extrême nord de la Grèce, près de la ville turque d’Edirne, a constaté l’Agence France-Presse présente sur place.
Plus tôt dans la matinée, à la suite de la montée des tensions dans le nord de la Syrie et de la mort d’au moins trente-trois militaires turcs, un haut responsable turc avait affirmé que son pays ne « retiendrait plus ceux qui veulent se rendre en Europe ».
Avant l’incident à la frontière, l’agence de presse turque DHA rapportait qu’environ 300 migrants syriens, irakiens ou encore iraniens étaient arrivés dans la province d’Edirne, frontalière de la Grèce. Peu après cette annonce, la Grèce avait annoncé avoir renforcé ses patrouilles à la frontière avec la Turquie.