Le préfet de région, Michel Cadot, annonce la « mise à l’abri », « dans les prochains jours », des quelque 500 migrants (Afghans, Soudanais, Somaliens, Tchadiens pour la plupart) qui ont trouvé refuge depuis un mois sur cette parcelle privée.
A l’heure du coronavirus, le sort de ces sans-abri posait question. « Leur campement est vraisemblablement un foyer infectieux et peut devenir l’épicentre d’une épidémie », glisse Pierre, habitant de la résidence voisine.