25/03/20
Mutinerie au centre de détention de Montmédy
22/03/20
C’est donc aujourd’hui vers 14h, au cours de la promenade, qu’une trentaine de détenus de la prison de Longuenesse se sont mutinés. D’après les informations qui nous sont parvenues parviennent, ils auraient tenté d’accéder à une autre cour de la prison, celle dépendant de la maison d’arrêt. Une équipe régionale d’intervention de la pénitentiaire a été mobilisée, mais les détenus ont finalement regagné leurs cellules. À noter que des mutineries ont été recensées dans quatre autres prisons ce week-end : à Nantes, Meaux, Maubeuge et Carcassonne.
À Limoges, le calme est de retour à la maison d’arrêt, mais l’établissement a connu également quelques perturbations dans l’après-midi : une vingtaine de détenus en promenade ont refusé pendant un temps de réintégrer le site. Après intervention des forces de l’ordre, et sans incident, tous sont retournés dans leur cellule dans le calme.
(…) France 3
Près de 200 détenus sont parvenus dimanche à prendre le contrôle d’un des bâtiments de ce centre de détention, avant que l’ordre ne soit ramené en début de soirée.
(…) Le Parisien
La direction interrégionale des services pénitentiaires a demandé l’intervention des Équipes régionales d’intervention et de sécurité (Eris) au centre pénitentiaire de Rennes-Vezin, ce dimanche 22 mars. Des détenus ont refusé de regagner leurs cellules, après la promenade de l’après-midi, vers 17 h. D’abord évalué à 150, le nombre de détenus a été précisé en soirée : il s’agissait de 73 personnes incarcérées dans un quartier de la maison d’arrêt. « Les détenus étaient 51 dans une première
(…) Ouest France
21/03/20
Selon le site spécialisé actupenit.com de nombreux incidents ont eu lieu ce samedi dans de nombreuses prisons de France. Béziers, Marseille, Roanne, Sequedin et Aix-Luynes sont principalement concernées.
Les ERIS (équipe régionale d’interversion et de sécurité) ont été sollicitées pour intervenir afin de rétablir la situation dans plusieurs établissements.
Les forces d’intervention sont sur place. Les détenus refuseraient de rentrer dans leurs cellules.