« Si j’avais voulu être violent, je l’aurais découpé. Dans mon pays, j’ai vu des gens se faire découper devant moi. Je n’ai pas aimé qu’il m’attrape par le vêtement ».
C’est par ces mots, répétés à plusieurs reprises et traduits par une interprète en langue arabe, que ce Soudanais de 29 ans – jugé par le tribunal correctionnel de Meaux pour menace de mort, outrage et violence à l’encontre d’un policier – a justifié son comportement au sein du centre de rétention administrative (CRA) du Mesnil-Amelot, samedi dernier.
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