Entre le 1er mars et le 17 avril, le taux de mortalité dans les zones les plus défavorisées était de 55,1 décès pour 100 000 habitants, contre 25,3 décès dans les zones plus privilégiées.
[…]Le terme “zone défavorisée” recouvre des quartiers marqués par un taux de chômage et de criminalité plus forts qu’ailleurs et un accès à la santé plus difficile.
[…]Une autre étude (en anglais), menée cette fois par l’Institute of fiscal studies, un institut de recherche basé à Londres, indique que le nombre de décès dans la population noire et issue de minorités est bien plus élevé que parmi les Blancs, en partie parce qu’ils occupent des métiers plus exposés au virus.
Les hommes d’origine pakistanaise sont 90% plus susceptibles de travailler dans le secteur de la santé que les hommes britanniques blancs.
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