⚠️ Le professeur @raoult_didier n’ira pas vivre à #Pékin, il vient de me démentir cette information ! Il s’agit d’une #FakeNews !
— Valérie Perez (@valeriepereztv) May 20, 2020
Le désormais célèbre infectiologue marseillais Didier Raoult, chantre de l’hydroxychloroquine, aurait été recruté par la Peking University Health Science Center (PUHSC), la faculté de médecine de l’Université de Pékin, la plus réputée du pays, annoncent en exclusivité, ce mercredi 20 mai, nos confrères d’Entreprendre.
Le professeur Didier Raoult va quitter la France et son IHU – Méditerranée Infection de Marseille et aurait été recruté par la Peking University Health Science Center (PUHSC), la faculté de médecine de l’Université de Pékin, la plus réputée du pays, annonce en exclusivité, ce mercredi 20 mai au matin, le site Entreprendre. L’infectiologue pourrait prendre ses fonctions dès la fin de l’été.
Personnage incontournable de l’épidémie de Covid-19, le professeur Didier Raoult annonce au magazine Entreprendre qu’il s’apprête à quitter la France. Il aurait été recruté par l’Université de Pékin, la principale faculté de médecine chinoise. Une décision motivée par les nombreuses attaques dont il fait l’objet depuis plusieurs semaines.
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Dans un courrier adressé à Robert Lafont, PDG du groupe de presse Lafont presse-Entreprendre, le scientifique justifie ainsi sa décision de quitter la France : « Il est devenu très compliqué d’entreprendre des projets de recherche dans le domaine de la santé en France, le secteur étant rongé par les querelles partisanes, la bureaucratie tentaculaire et le politiquement correct. »
« Ayant fait partie des rares journalistes à avoir eu un comportement exemplaire durant cette période, j’en profite pour vous réserver la primeur d’une information : mon départ prochain pour la Chine (d’ici la fin de l’été). J’ai en effet été recruté en qualité de Professeur par la Peking University (PUHSC), la faculté de médecine la plus réputée du pays, qui se trouve être très en pointe dans le domaine de la virologie.Il est devenu très compliqué d’entreprendre des projets de recherche dans le domaine de la santé en France, le secteur étant rongé par les querelles partisanes, la bureaucratie tentaculaire et le politiquement correct. »