L’instance se montre plus ferme dans la suite de son avis, rappelant au passage que “les entretiens journalistiques ne sont pas des interrogatoires policiers”. “La sélection des faits invoqués par la journaliste, sa manière de poser des questions, le choix des termes qu’elle utilise (‘instigateur’, ‘manipulateur’…) , sa propension à impliquer à tout prix l’avocat dans la commission des faits reprochés à son client contredisent l’exigence d’impartialité”, note le Conseil à propos d’Apolline de Malherbe.
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La décision du Conseil de déontologie sur De Malherbe/Branco est quand même curieusement motivée : "le rôle du journaliste qui conduit un entretien n’est pas d’être un contradicteur". 🤔 pic.twitter.com/LyFnvBvzk0
— Vincent Glad (@vincentglad) May 20, 2020