«Au stade actuel», le président des députés LREM, Gilles Le Gendre, n’envisage pas de sanction contre l’élu de l’Ain, qui a fait appel du jugement prud’hommal le reconnaissant coupable de harcèlement sexuel contre une ancienne collaboratrice. Des cadres du groupe exigent pourtant son exclusion.
(…) Libération
“J’ai pleuré quand j’ai ouvert le courrier du conseil de prud’hommes. C’était un immense soulagement. Je suis encore sous traitements pour me sortir de cette affaire (…) En tout cas, j’espère que ça pourra encourager d’autres personnes harcelées à sortir du silence”, explique l’ancienne chargée de com’ de Stéphane Trompille. Elle vit aujourd’hui à 600km de Bourg-en-Bresse.
Embauchée en juin 2017, cette femme aura supporté “des propos sexistes et salaces” durant 7 mois, avant un arrêt maladie. Le député de l’Ain l’avait ensuite licenciée, -durant cet arrêt maladie-, pour “insuffisance professionnelle”.
“J’avais suivi la campagne de M. Trompille, je l’ai vraiment vu changer après son élection”, détaille l’ancien collaborateur qui décrit un homme de plus en plus hautain.
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A relire :
C'est le même qui avait embrouillé un gilet jaune sur un rond point, je ne sais pas si vous vous en souvenez.pic.twitter.com/cTlH15AVVD
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) May 26, 2020
(Merci à Laurent)