Val-d’Oise. Deux ateliers de fabrication de faux papiers démantelés à Cormeilles-en-Parisis et Survilliers
[…]Saisi de l’affaire par l’Office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers, la brigade mobile de recherches (Bmr) de Marseille constate que l’identité de l’expéditeur et son adresse sont fausses, mais pas le numéro de téléphone. Grâce à celui-ci, les enquêteurs identifient un suspect, un Algérien de 35 ans domicilié à Marseille. Les investigations et les écoutes effectuées permettent d’établir que l’homme est en contact avec trois individus en région parisienne. Si ces dernier échangent en langage codé, les policiers comprennent toutefois qu’ils ont affaire à un trafic de faux papiers. Les trois complices présumés, sont identifiés à leur tour.
Carte d’identité, permis, carte Vitale
Alors que la plupart des documents était envoyée à un réseau de passeurs en Grèce, pour servir à des personnes présentant une ressemblance avec le titulaire officiel des papiers, les enquêteurs découvrent qu’une autre partie était écoulée dans le quartier de Barbès à Paris 18e par les trois faussaires parisiens. Ces derniers approchaient les personnes en situation irrégulière. La plupart du temps il s’agissait de compatriotes algériens, mais également de Tunisiens.
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