Marseille : les proxénètes allaient jusqu’au viol collectif
Pour se faire respecter, un gang de Nigérians avait recours à des sévices
Il y a deux ans encore, on nageait dans la très ordinaire prostitution dite traditionnelle. Des “mammas” jouaient le rôle de faiseuses. Elles se prostituaient, puis décidaient d’arrêter, passaient la main, en prostituaient d’autres. Mais cette fois, comme dit la procureure de Marseille Dominique Laurens, “on a vraiment changé de dimension”. La Police judiciaire (PJ) de Marseille et la direction zonale de la Police aux frontières (Paf) viennent en effet de mettre au jour un réseau structuré et méchant. Avec un contexte lourd de violences, de sévices, notamment sexuels, et même des viols collectifs, pour celles qui étaient tentées de résister aux ordres de la hiérarchie. “Il s’agit d’un gang criminel avec des rôles déterminés”
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