Cela aurait pu être une succession naturelle, entre deux hommes de gauche, issus du giron socialiste et ayant œuvré dans la même équipe à la tête de Trappes six ans durant.
Mais il n’en fut rien. Guy Malandain (DVG) et son successeur à la tête de la ville, Ali Rabeh ( Génération.s), sont désormais irréconciliables. Le premier accuse l’autre d’avoir trahi son chef de file, de lui avoir « planté un poignard dans le dos » en se lançant face à lui. Ali Rabeh, lui, reproche à son prédécesseur de s’être représenté malgré sa promesse de ne pas le faire et d’avoir trahi ses idées de gauche pour se rapprocher de LREM.