Bachir (1) vient de vivre des semaines mouvementées. Interpellé pour des soupçons de recel, ce jeune majeur de 18 ans a été jugé une première fois le 25 mai au tribunal correctionnel de Toulouse, mais son avocat Brice Zanin a obtenu la relaxe pour l’emploi d’un mot trop approximatif dans la procédure. Le lendemain, alors qu’il passait le portail de la prison, Bachir a de nouveau été arrêté par les gendarmes de la brigade de recherches de Toulouse Saint-Michel et ceux du Groupe d’enquêtes cambriolages (GEC), qui l’attendaient patiemment sur le parking. Les militaires le recherchaient depuis plusieurs semaines après que son ADN ait été retrouvé sur des nombreux lieux cambriolés.
[…]L’article dans son intégralité sur La Dépêche