Primes, voitures de fonction, absentéisme…
[…]Les observations soulèvent, entre autres, un « niveau très élevé d’absentéisme » et un temps de travail inférieur de « 2.5 % à la durée annuelle légale ».
Les cadres en prennent pour leur grade
Primes de mobilité « aux montants excessifs », augmentations « très rapides », voitures de fonction systématiques ou encore ruptures conventionnelles « très favorables en fin de carrière »… les privilèges accordés aux cadres dirigeants ne passent pas inaperçus.
[…]L’article dans son intégralité sur Les Echos