Une amicale de locataires de la cité Charles-Schmidt a négocié la paix sociale avec les trafiquants. Le deal ? «moins de nuisances», en échange de les laisser «faire leur business». Et ça marche.
« Mais tout en douceur, on ne cherche pas la confrontation, insiste Jules. L’idée est juste de dire : On habite là, on ne veut pas de nuisances, faîtes votre business de votre côté et nous, on profite de notre immeuble ».
(…) « On ne joue pas le rôle de la police, on ne veut pas la guerre »