Il y aurait en théorie de la place en face de Faguimba et de son acolyte, si ceux-ci n’avaient pas les pieds posés sur la banquette. La victime, qui ne se démonte pas, leur demande de les retirer. Ils refusent. Faguimba se serait même fendu – entre autres – d’un élégant “j’m’en bats les couilles”, avant de s’essuyer les savates sur les sièges. Le senior est ensuite insulté, avant qu’une femme n’intervienne pour tenter de calmer le jeu. Elle fait elle-même l’objet d’innommables grossièretés.
L’affaire aurait pu en rester là, mais non…
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