Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé à la “libération immédiate et sans conditions” du président du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta, mardi 18 août. Plus tôt dans la journée, le président et son Premier ministre, Boubou Cissé, ont été arrêtés par des militaires maliens, au domicile du premier, tandis que des soldats ont pris le contrôle de la garnison de Kati, proche de Bamako.
14h37 : La situation reste toujours confuse à Bamako mais la circulation se poursuit normalement dans une partie de la capitale malienne, selon des témoins.
13h56 : Moussa Timbine, président de l’Assemblée nationale aurait aussi été arrêté dans sa résidence officielle, selon ses proches.
13h49 : Joint par la DW, l’ancien ministre des Affaires étrangères du Mali, Abdolaye Diop, dit ne pas avoir des informations précises pour commenter les événements en cours à Bamako.
13h14 : Une colonne serait en route vers l’ORTM, la radio-télévision nationale, dont le personnel a été évacué. Le chef d’état-major de la garde nationale aurait aussi été arrêté.
13h06 : Les représentations diplomatiques recommandent à leurs ressortissants de rester à la maison. Des véhicules de la police militaire (PM) devant le département de La Défense. L’ORTM a également été évacuée pour raison de sécurité.
12h30 : Plusieurs sources dont des diplomates affirment que des tirs nourris sont entendus depuis ce matin dans la ville garnison de Kati à 15 kilomètres de Bamako. Notre correspondant à Bamako rapporte l’arrestation de hauts gradés de l’armée par le groupement d’intervention de la garde nationale.
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