(…) Karine Moykens qui préside le comité Interfédéral Testing et Tracing rappelle : “Tout a commencé à Anvers dans des communautés juives, marocaine et turque et comme ces personnes souvent jeunes fréquentaient des salles de sport et de loisirs, le virus s’est rapidement propagé de manière diffuse”. (…)
C’est vrai que le sujet est “sensible”, il peut stigmatiser certaines populations. “Géographiquement, à Bruxelles, par exemple, Emir Kir, le bourgmestre de St Josse a lui-même propagé l’info. Un petit foyer s’est développé dans la commune en raison de la densité de population couplée à des revenus souvent insuffisants pour la population” répond Axel Legay. (…)