A Polokwane (nord-est), capitale de la province de Limpopo, le leader de l’EFF Julius Malema a retrouvé une centaine de militants devant une pharmacie fermée. « Nous sommes ici pour dire pacifiquement que le racisme est une violence », a-t-il déclaré dans ce centre commercial. « Nous voulons la justice, pas des excuses », a ajouté M. Malema. « Qui traite les Noirs de moches ?, a-t-il ajouté, appelant le responsable de la publicité à être licencié. Les Blancs nous insultent et présentent des excuses et ils pensent que c’est bon. Il faut que ça cesse. »
Depuis vendredi, des Sud-Africains furieux se sont déchaînés sur les réseaux sociaux contre Clicks Pharmacy qui avait présenté des images de cheveux noirs « secs et abîmés » ou « crépus et ternes », à côté d’une chevelure blonde décrite comme « normale », « fine et lisse ». […]
We fought for freedom and democratic rights. Amongst others freedom of expression, including protest. But not to infringe on the rights of others or the destruction of public and private property. These Bakuninists must understand this!
— Tito Mboweni (@tito_mboweni) September 7, 2020
This thing of allowing disorderly behavior will come back to haunt this country. You need a very firm stance on the Rule of Law. Protest, Yes. Destroy property and business, No! But private enterprise must also be sensitive to our environment. We are building a new society!
— Tito Mboweni (@tito_mboweni) September 7, 2020
If this is what happens when @Julius_S_Malema instructs his cult members to “attack” a store, what do you think happens when he says “kill the Boer”? #ArrestMalema pic.twitter.com/K4XyXlcCx0
— Skye ★ (@LoneStar_Skye) September 7, 2020