Entre 1995 et 2001, des dizaines de femmes ont été agressées dans cette forêt située en Essonne. Le suspect, identifié vingt ans après le début des agressions, est jugé à partir de mardi. Il nie farouchement les faits.
« Je vais être contente de porter un masque. Je mettrai aussi des lunettes de soleil, ça va permettre de me cacher, de mettre de la distance. » Carmen (NDLR : les prénoms ont été modifiés), 54 ans, sera à partir de ce mardi et pendant un mois sur le banc des parties civiles de la cour d’assises de l’Essonne pour assister au procès d’Aïssa Z., 45 ans, présenté comme « le violeur de la forêt de Sénart » ou encore « le violeur à la mobylette ».
(…) Le Parisien