quinze ans de réclusion criminelle dont dix ans de sûreté.
[…]Il s’était présenté lundi matin, à l’ouverture de son procès, tête baissée et poing levé, estimant qu’il n’avait pu s’expliquer sur cette affaire en raison de la couleur de sa peau
[…]La jeune femme se rendait à l’aéroport quand elle avait été entraînée derrière les palissades d’un chantier par l’accusé qui l’avait brutalisée puis violée.
[…]il apparaît que Joao Veiga Goncalves avait abordé plusieurs femmes à cette époque. Trois jours plus tard, il était arrêté à son domicile dans la Roya.
[…]L’article dans son intégralité sur Nice Matin