Délinquance : des statistiques publiées chaque mois, une bonne idée ?
[…]Cette nouvelle version de la politique du chiffre séduit, interroge ou inquiète. Ainsi, Christophe Soullez, de l’Observatoire national de la délinquance, se dit « plutôt favorable » à cette démarche de « transparence », même s’il met en garde contre le risque de se limiter à des indicateurs purement quantitatifs. William Maury, du syndicat de police Option Nuit, dénonce, lui, l’impasse faite sur certains indicateurs, comme le nombre de cambriolages ou les violences aux personnes, craignant que les statistiques choisies ne reflètent pas « ce qui fait l’essentiel de l’insécurité dans notre pays ».
[…]L’article dans son intégralité sur Le Parisien