FIGAROVOX/CHRONIQUE – L’avocat et chroniqueur dénonce le discours «islamo-gauchiste» qui encourage l’immigration et refuse de prendre la menace islamiste au sérieux. L’attaque survenue vendredi confirme ses craintes, juge-t-il.
La tragédie française a pour nom l’immigration ratée, massive, illégale et violente.
Cette phrase, je peux l’écrire pendant encore quelques heures, sans que ma plume ne tremble ni que mon nom soit maudit, à l’ombre des drames d’hier et d’aujourd’hui relatés par la presse ordinairement vétilleuse.
(…)
Si vous pensez que les grands massacres ont calmé l’islamo-gauchisme français, vous vous trompez lourdement. Celui-ci s’est enrichi de la névrose américaine. Aujourd’hui, ce n’est plus seulement le français, le chrétien, le juif qui est détesté, c’est aussi, mais de manière cette fois construite et assumée le blanc, raciste systématique. Il paye tous les jours comptant dans les banlieues comme dans les cités périphériques, à coups de couteau reçus. Cela s’appelle pourtant la violence gratuite.
Le dernier drame de la tragédie française est survenu vendredi, on l’a dit.
Son auteur est donc ce très jeune migrant islamiste, fanatisé et isolé. Il faisait partie il y a quelques semaines encore de cette cohorte grandissante de mineurs supposés, évalués aujourd’hui à 40 000 individus qui causeraient 60 % des crimes et délits en région parisienne. Sur les réseaux sociaux populaires, la chose est dite, mais la plupart du temps, hors drame où les plumes se délient, les médias convenus n’interviennent que pour stigmatiser la France de ne pas savoir traiter convenablement ces gens qu’elle n’a pas invités et dont elle ne sait que faire. Bien entendu, des ONG politisées et que ne renieraient pas les organisations islamo-gauchistes sauce Mélenchon font tout pour que le drame ne cesse.