(…) Car Sefrioui s’est largement impliqué dans la montée des tensions.
(…) On le retrouve derrière le groupe terroriste Forsane Aliza, aujourd’hui dissous, avec qui il tentait de faire pression, en 2011 déjà, sur la proviseur du lycée de Saint-Ouen
(…) Le préfet de Seine-Saint-Denis à l’époque et le patron des renseignements généraux avaient tenté de lancer une procédure de déchéance de nationalité de l’intéressé d’origine marocaine, obtenue par mariage. Ils n’y sont pas parvenus. D’aucuns prétendent que la bienveillance dont il jouissait auprès des autorités marocaines avait empêché la France de le déchoir.