[…]«Je suis abasourdi. C’est une famille très gentille, qui n’a jamais eu de problème. On ne se parlait pas beaucoup, mais jamais je n’aurais pu penser qu’il vienne d’ici.»
[…]«Il ne faut pas que cela jette l’amalgame sur tous les musulmans.»
[…]Tous s’accordent en revanche pour décrire une famille «très discrète, qui ne fait pas de bruit». «Généralement, c’était des bonjours bonsoirs»
[…]Hormis «les enfants en bas âge qui jouent en bas de l’immeuble, on ne peut pas en dire grand-chose, si ce n’est qu’ils s’habillaient toujours en noir»
[…]Abdoullakh, «un gars très respecté. Il a des amis mais je le voyais souvent seul, à faire des allers-retours (au quartier). C’est quelqu’un qui ne parle pas aux gens». Sophia le décrit comme quelqu’un qui avait «une tête de personne énervée, qui impressionnait quand on le voyait. Je sais qu’il s’est déjà battu»
L’article dans son intégralité sur Libération