Il y avait en effet 405 pénuries en 2016 et presque trois fois plus en 2019. En 2020, 2 400 ruptures devraient être constatées, “six fois plus qu’il y a quatre ans”, note l’étude, citant l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).
Une situation d’autant plus alarmante que ces pénuries concernent des médicaments dits “d’intérêt thérapeutique majeur” (MITM), “pour lesquels une interruption de traitement peut être susceptible de mettre en jeu le pronostic vital des patients”.
[…]Dans 12% des cas, les producteurs orientent “vers des solutions de derniers recours”, comme la diminution de la posologie. Enfin, dans près d’un cas sur cinq (18%), les laboratoires “ne proposent tout simplement aucune solution de substitution”.
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