Ghaleb Bencheikh, le président de la Fondation de l’Islam de France, multiplie les accusations contre l’imam Hassen Chalghoumi à un moment où ce religieux républicain est menacé de mort.
Mais qu’est-ce qui leur prend aux très respectables membres de la Fondation de l’Islam de France ? Après Bariza Khiari, dont Marianne avait relevé les emportements malvenus contre Hassen Chalghoumi, l’imam très républicain de Drancy menacé de mort, c’est au tour de Ghaleb Bencheikh, le propre président de cette Fondation, de se déchaîner dans les colonnes du site algérien TSA ( Tout sur l’Algérie).
Selon cette sommité, que l’on se réjouissait de voir prêcher la tolérance et l’altérité, les musulmans de France seraient « humiliés de voir un benêt ânonnant des mots convenus, le plus souvent sans finir ses phrases, parler en leur nom et présenté comme leur représentant. Ce n’est pas normal ! Sait-on qu’il a un effet repoussoir auprès des jeunes musulmans ? »