20/11/2020
Un jeune homme a été condamné à quatre ans de prison ferme, ce vendredi, par le tribunal de Quimper, dans le cadre d’une audience à huis clos. Le 12 septembre, à Douarnenez, il a drogué sa logeuse avant d’abuser d’elle.
La victime a tenu à ce que l’audience se déroule à huis clos total, ce 20 novembre, au tribunal de Quimper. Contrairement à la première audience, le 20 octobre dernier, où une demande de renvoi avait été formulée pour mener à bien d’autres expertises, notamment psychiatriques. (…)
Ce soir-là, le jeune homme a préparé le repas pour lui et la bénévole mais y a rajouté une boulette de résine de cannabis. Il est prévenu d’avoir, par la suite, déshabillée la jeune femme et l’avoir agressée sexuellement.
« Il se souvient d’avoir mis la boulette de résine dans le plat, d’avoir entraîné sa logeuse sur le canapé mais, après, c’est le black-out », a expliqué Me Yann Le Roux, le conseil du jeune homme. (…)
À 18 h, le tribunal de Quimper a suivi les réquisitions, ajoutant une interdiction définitive de séjour dans le Finistère et le Morbihan. Plamedi Odinga Mbala Mungadi verra aussi son nom être inscrit au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles et violentes (Fijais) et devra verser 4 200 € de dommages et intérêts à sa victime.
21/10/2020
Un jeune homme, dont la majorité reste à déterminer, aurait mis une boulette de cannabis dans la nourriture et agressé une connaissance, le 12 septembre 2020. Il sera jugé le 20 novembre 2020, à Quimper (Finistère).
[…]Un jeune Congolais, dont l’âge reste incertain, devait être jugé en comparution immédiate, devant le tribunal judiciaire de Quimper (Finistère).
[…]Le 12 septembre, il prépare à manger à une jeune femme qu’il connaît. Il aurait glissé un bout de résine de cannabis dans la préparation de son plat. « Vous l’avez ensuite enlacée, embrassée, déshabillée et agressée », détaille la présidente du tribunal, Béatrice Dupuis.
Une expertise psychiatrique est indispensable pour juger quelqu’un pour agression sexuelle : elle n’a pas encore été réalisée. De plus, « le juge des enfants a refusé votre qualité de mineur isolé étranger, une décision confirmée par la cour d’appel » rappelle la juge.
[…]Après avoir été logé à l’hôtel Dupleix à Quimper comme de nombreux mineurs isolés étrangers, il a vécu dans des familles d’accueil, avant d’être hébergé par la victime
[…]L’article dans son intégralité sur Ouest France