Les faits se sont produits aux alentours de 20 heures. Alors que la police tentait de disperser les fauteurs de trouble, une grenade lacrymogène aurait fini sa course dans un appartement.
(…) Sur place, ils découvrent des palettes et des pneus en feu. Mais à leur arrivée, les deux véhicules de pompiers font l’objet de tirs de projectiles. D’après des témoins, ils sont pris à partie par plusieurs petits groupes de jeunes.
Les soldats du feu qui voient que le risque de propagation est nul se retirent un peu plus loin en amont de la rue, en attendant l’arrivée des forces de l’ordre.
Afin de disperser les fauteurs de trouble, les policiers auraient eu recours à des grenades lacrymogènes. L’une d’entre elle aurait fini sa course dans un appartement, au numéro 480 de l’avenue d’Offenbourg. (…)