Le gouvernement avait dissous l’ONG le 28 octobre dernier, peu de temps après l’assassinat de Samuel Paty.
Le Conseil d’État a rejeté mercredi 25 novembre la requête en référé déposée par l’ONG BarakaCity pour contester sa dissolution prononcée par le gouvernement, qui l’accuse d’inciter à la haine et d’être proche de l’islamisme radical. «Le juge des référés du Conseil d’État estime que les propos incriminés du président de l’association peuvent être imputés à l’association elle-même et constituent des discours incitant à la discrimination, à la haine ou à la violence, pouvant justifier une dissolution», a expliqué le Conseil d’État dans un communiqué annonçant la décision.
(…)