Ameer al Halbi, connu notamment pour avoir couvert la guerre à Alep, a été blessé à coups de matraque. Il a le nez cassé et l’arcade sourcilière ouverte.
(…) « Nous étions identifiables comme photographes et tous collés à un mur. On criait presse ! Presse ! Il y avait des jets de projectiles du côté des manifestants. Puis la police a mené une charge, matraque à la main »