La retraitée solitaire héberge le jeune réfugié depuis le premier confinement
On les avait rencontrés à la fin du mois de mars dernier, après quinze jours de claustration forcée. Déjà, ils souriaient. « Nous sommes en guerre », avait dit un président quelques jours plus tôt. Ces deux-là avaient choisi de résister en semble, en relativisant les grands mots martiaux. Neuf mois plus tard, on les retrouve de part et d’autre de la table du salon.
Y’a « L’Huma » dessus.