Inscrit au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), l’imam de la mosquée de Pantin, fermée après la diffusion d’un message de haine visant Samuel Paty avant son assassinat, continuait son prosélytisme radical.
Selon nos informations, le religieux, congédié après la décapitation du professeur d’histoire à la sortie de son collège de Conflans-Sainte-Honorine, a continué à faire des prêches dans la mosquée dite des « Algeco » de Bobigny. Cette dernière a donc été frappée à son tour par une mesure de fermeture administrative.
Une source policière précise au Figaro que l’imam indésirable avait en outre scolarisé ses enfants au sein d’une école coranique clandestine installée à Bobigny, laquelle a aussi été ciblée par une interdiction.
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Le Figaro