La remise en liberté des trois suspects de 35 cambriolages commis à Montpellier avant leur procès fixé au mois d’avril suscite émotion et consternation dans les rangs des policiers montpelliérains, selon le syndicat Unité SGP Police FO.
Cette décision est très mal perçue par “les enquêteurs qui se sont impliqués pendant de longues semaines dans un dossier qui touchait de nombreux quartiers de MONTPELLIER et de nombreuses victimes”, écrit le syndicat unité SGP police 34, qui fait remarquer que les deux auteurs principaux sont étrangers et sans domicile fixe, donc pourraient disparaitre et ne pas se présenter à leur procès.