« La première communion concerne fondamentalement deux personnes : l’enfant et Jésus. Ce n’est pas une démarche à sens unique, c’est une rencontre. Et malgré les apparences, celui qui prend l’initiative n’est pas l’enfant, ni ses parents : c’est Dieu lui-même ».
— Antoine Pasquier (@PasquierA) February 4, 2021
@florent_boudie croit ainsi démontrer, par cette citation de Famille Chrétienne, que le consentement de l’enfant ne serait pas plein et entier dans la religion catholique. C'est absurde et faux.
— Antoine Pasquier (@PasquierA) February 4, 2021
2. La formule « celui qui prend l’initiative (…), c’est Dieu lui-même » fait référence à la rencontre. C’est parce qu’il y a eu cette « rencontre », parce que Dieu s’est manifesté à l'enfant que celui-ci est bien le premier acteur de sa première communion.
— Antoine Pasquier (@PasquierA) February 4, 2021
4. L’expression de ce désir ainsi que la compréhension de ce qu’est l’eucharistie sont appréciées par plusieurs adultes au début et au cours du cheminement vers la première communion : les parents d’abord, les catéchistes et le curé de la paroisse enfin.
— Antoine Pasquier (@PasquierA) February 4, 2021
Alors oui, il arrive que des enfants fassent leur communion par tradition familiale ou poussés par leur famille. Mais est-ce la faute de l’Église ? Et peut-on vraiment et honnêtement parler ici de "séparatisme" avec les principes de la République @florent_boudie ?
— Antoine Pasquier (@PasquierA) February 4, 2021