Les barbares, encore et toujours…
Un lynchage. Il n’y a pas d’autre mot pour décrire l’horreur endurée par Christian Lantenois, notre photographe, samedi dernier. Un lynchage qui aura duré 57 secondes, au terme desquelles il est laissé pour mort sur le sol. 57 secondes, c’est court. Et c’est long, dans de telles circonstances. Tout ça pour quoi ? Récupérer la carte mémoire d’un appareil photo. Un acte délirant pour un motif dérisoire.
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