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9 mars 2021
Procès en “islamophobie” à Sciences-Po : Non, FDeSouche n’a jamais été contacté par l’un des enseignants menacés, contrairement à ce que laisse entendre la théorie complotiste servie par Mediapart et Usul
Procès en Islamophobie à Sciences-Po Grenoble : Mediapart et Usul dérapent très lourdement
Dans l’émission « Ouvrez les guillemets » du 8 mars 2021, diffusée par Mediapart sur la plateforme YouTube; Le chroniqueur politique Usul revient sur la polémique touchant Sciences-Po Grenoble, offrant une tribune à Thomas Mandroux, président de l’”Union Syndicale Sciences Po Grenoble”
Ce dernier n’hésitant pas à affirmer en cette occasion:
« On sait très bien qui a contacté la presse conservatrice et la presse d’extreme droite, Fdesouche ce n’est même pas conservateur »
En avant-propos, le chroniqueur de Mediapart : Usul, introduisait l’assertion mensongère de Thomas Mandroux de la sorte
« Cette affaire interne à Sciences-Po, un conflit entre 2 profs et des élèves qui les accusaient d’islamophobie n’avait à la base pas été rendu public ni par l’UNEF ni par l’Union Syndicale Sciences Po Grenoble. Ce sont les profs eux-mêmes, qui sur un blog et dans des mails envoyés à des gens de l’extérieur, ont attiré l’attention sur ce qui aurait pu rester un banal conflit entre des profs et des élèves »
Procès en « islamophobie » et « name & shame » : un « banal conflit » selon Usul
Oui : FDeSouche est à l’origine des révélations (au grand public) des événements à Sciences-Po Grenoble
Non : FDeSouche n’a été contacté par personne, et donc, de facto : pas par les enseignants visés par les menaces
Retour détaillé sur ce qui a mené à la première publication de FDeSouche
• Début janvier, lors d’une veille classique: un rédacteur de fdesouche découvre via les réseaux sociaux, sur des comptes/groupes publics, (TOUS de gauche/extrême gauche) l’existence d’un conflit au sein de science-Po Grenoble
• Ayant pris connaissance de la teneur des accusations proférées par certains militants d’extrême gauche, le rédacteur décide de ne pas créer de post dans la revue de presse afin de ne pas mettre (plus) en danger l’enseignant visé. (Un seul enseignant semble alors, livré à la vindicte)
Contexte : à ce moment, et ce depuis déjà quelques semaines, une professeure d’université (à Lyon) était menacée de mort pour avoir critiqué l’islam, Médiapart avait livré son nom en l’accusant d’etre « islamophobe ».
Trois mois auparavant, le 16 octobre 2020 : Samuel Paty, lui aussi accusé d’être « islamophobe », était décapité devant l’école où il enseignait.
L’histoire aurait pu en rester là mais…
Troisième tiers du mois de février: une nouvelle polémique s’invite dans le débat public Frédérique Vidal s’attaque à l’islamo-gauchisme au sein de l’Université
• À cette occasion, lors d’une veille informationnelle sur ces faits : le rédacteur de FDeSouche (susmentionné) retombe sur les accusations (mises à jour) visant l’enseignant Grenoblois, décide de ne (toujours) rien publier, mais met en place une OSINT
• Fin février, les choses s’accélèrent : la remontée d’informations fait état de menaces beaucoup plus précises, persistantes, visant désormais plusieurs enseignants, le rédacteur de FDeSouche décide (le 1er mars) de publier un post (mis à jours à de multiples reprises depuis), évoquant (de façon parcellaire) la genèse des événements en reprenant pour seuls éléments un communiqué de « Sciences Po Grenoble en lutte » (datant du 7 janvier 2021), son partage (le 8 janvier) par l’ “Union Syndicale Sciences Po Grenoble” ainsi que 2 publications datant respectivement du 22 et 27 février 2021 (de l’Union Syndicale Sciences Po Grenoble).
Sans ambages:
•Quand Thomas Mandroux prétend que quelqu’un aurait contacté FDeSouche: Thomas Mandroux ment.
•Quand « Usul » chroniqueur de Mediapart, laisse entendre que ce sont les enseignants eux-mêmes qui ont contacté FDeSouche: Usul ment.
•Quand « Usul » chroniqueur de Mediapart, prétend que le « conflit » (sic) n’aurait « à la base pas été rendu public par l’ « Union Syndicale Sciences Po Grenoble »: Usul ment.
