Trois hommes ont été condamnés pour avoir abusé sexuellement d’adolescentes vulnérables après que la police a trouvé une “caverne d’Ali Baba” de preuves contre eux.
La police a déclaré que les infractions avaient eu lieu dans le centre-ville de Nottingham entre février 2017 et janvier 2019.
Ils concernaient trois filles placées dans le système d’assistance qui avaient entre 13 et 15 ans à l’époque.
Waqas Akhtar, Mohammed Saeed Ahmed et Hamza Shazad seront condamnés plus tard ce mois-ci.
[…]–Waqas Akhtar, 26 ans, de Glentworth Road, Radford, Nottingham, a été reconnu coupable mardi à la Cour d’assises de Nottingham d’activité sexuelle avec une fille de moins de 16 ans, d’activité sexuelle avec pénétration avec une fille de moins de 16 ans, de deux chefs d’accusation pour avoir communiqué sexuellement avec un enfant et d’avoir rencontré une fille de moins de 16 ans après l’avoir préparée.
–Hamza Shazad, 27 ans, d’Ewart Road, Forest Fields, avait précédemment admis trois chefs d’accusation pour la réalisation de photographies indécentes d’enfants, un chef d’accusation pour la possession d’images pornographiques extrêmes et trois chefs d’accusation pour la distribution de photographies indécentes d’un enfant. Il a nié avoir eu des contacts sexuels avec un enfant, deux chefs d’accusation pour avoir poussé ou incité une fille âgée de 13 à 15 ans à avoir une activité sexuelle avec pénétration et un chef d’accusation pour avoir rencontré une fille de moins de 16 ans après l’avoir préparée. Un jury l’a déclaré non coupable de ces chefs d’accusation mercredi.
–Mohammed Saeed Ahmed, 22 ans, de Vale Crescent South, a déjà plaidé coupable de communication sexuelle avec un enfant, d’avoir poussé ou incité une fille de moins de 16 ans à avoir une activité sexuelle et d’activité sexuelle avec une fille de moins de 16 ans.
L’inspecteur de police Jamie Hill a déclaré : “Ces jeunes gens vulnérables ont été abusés et exploités sexuellement par des hommes adultes qui savaient pertinemment que ce qu’ils faisaient était mal. Ces hommes les ont préparés à des relations sexuelles pendant une période prolongée, en envoyant et en recevant des messages sexuellement explicites.
“Il s’agit d’une enquête complexe et de longue haleine à laquelle ont participé des dizaines de détectives. Comme c’est souvent le cas dans les affaires d’exploitation sexuelle d’enfants, cette affaire n’a pas commencé par une plainte des victimes, mais par les très graves préoccupations d’autres personnes.
“Ces incidents, bien que rares, sont incroyablement choquants et il faut une force immense pour que les victimes se manifestent et partagent leurs expériences traumatisantes.”