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Avec le couvre-feu, les transports sont désertés en soirée, et la solitude crée un fort sentiment d’insécurité chez les femmes qui rentrent tard du travail.

 « Quand je dois prendre le métro le soir, je serre les fesses et j’attends que ça passe. » Pauline, 25 ans, a toujours eu l’habitude de prendre les transports en commun pour se déplacer dans Paris. Mais depuis quelques mois, ils sont devenus pour elle un espace inquiétant dès l’heure de pointe du soir passée. Le couvre-feu à 18 heures a vidé les métros, trains, tramways et bus en soirée, et, pour beaucoup de femmes, se retrouver quasiment seules crée un fort sentiment d’insécurité.  […]

Le Point

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