Selon la version des plaignants, des gendarmes auraient ouvert le feu pour repousser des migrants afghans à la frontière entre la France et l’Italie
La préfecture des Hautes-Alpes a assuré dimanche qu’aucun tir n’avait été effectué jeudi à la frontière avec l’Italie, après des accusations de migrants rapportées la veille par la presse italienne.
Des migrants afghans ont accusé samedi des gendarmes français de les avoir refoulés vers l’Italie en tirant des coups de feu pour les effrayer, des allégations examinées par un magistrat italien mais déjà démenties par la gendarmerie.