Le tueur avait crié “Allahu akbar” pendant l’attaque et son arrestation, mais la piste terroriste avait été écarté.
Rosie Ayliffe, la mère de la victime, pensait que sa fille de 20 ans, Mia Ayliffe-Chung, ferait de la randonnée en toute sécurité en Australie pendant son année sabbatique. Mais en 2016, lorsque Mia a cherché à prolonger son visa et a dû travailler 88 jours dans une ferme, une catastrophe a suivi.
Quatre jours après que Mia a emménagé dans une auberge de jeunesse à Home Hill, dans le Queensland, pour occuper un emploi dans une ferme de canne à sucre, elle a été mortellement poignardée par le ressortissant français Smail Ayad, 29 ans.
Un autre jeune routard britannique, Tom Jackson, est décédé plus tard des suites de ses blessures en essayant de protéger Mia.
“Avant d’entrer au tribunal, j’avais [la mère de Mia] écrit cette lettre à la mère d’Ayad:
Les membres de la famille présents au tribunal aimeraient vous exprimer nos plus sincères condoléances. Nous comprenons que votre souffrance n’est pas différente de la nôtre et nous ne vous en voulons pas. Si vous souhaitez rencontrer et parler parent à parent, je serais heureux que cela se produise.”
Elle [la mère d’Ayad] n’était pas présente au tribunal […]
“Rien ne peut annuler ce qui s’est passé cette nuit-là. Cependant, je souhaite seulement à cette personne et à sa famille la paix, car une fois que cette personne se rendra compte de ce qu’elle a fait, sa souffrance intérieure sera pire que tout ce qui lui sera imposé.”
(Merci à madou)