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09/04/21

Après trois jours d’audience, la cour d’assises de Haute-Garonne a condamné pour la troisième fois l’un des deux accusés du meurtre de cet étudiant tué en 2011 à Toulouse

Pour la troisième fois, Hicham Ouakki, accusé du meurtre de Jérémy Roze en 2011, a été condamné par une cour d’assises. Le jeune homme âgé aujourd’hui de 29 ans, qui avait écopé en première instance et en appel de la réclusion criminelle à perpétuité, a été condamné cette fois par la cour d’assises de Haute-Garonne à trente ans de réclusion criminelle assortis d’une peine de sûreté des deux tiers.

20 Minutes


8 avril 2020

Procès du meurtre de Jérémy Roze à Toulouse : la perpétuité requise

Le parquet général a demandé la peine maximale dans le procès d’Hicham Ouakki, jugé depuis mardi devant les Assises de Haute-Garonne pour le meurtre d’un étudiant palois à Toulouse en 2011. C’est la peine à laquelle il a déjà été condamné deux fois.

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L’article dans son intégralité sur France Bleu


6 avril 2020

Affaire Jérémy Roze à Toulouse : au troisième procès, Hicham Ouakki nie avoir donné le coup de couteau mortel

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Après deux verdicts de réclusion criminelle à perpétuité, le meurtrier présumé de Jérémy Roze à Toulouse il y a 10 ans, est à nouveau jugé depuis ce mardi matin suite à un vice de procédure. Hicham Ouakki nie avoir porté le coup de couteau mortel à l’étudiant béarnais en pharmacie.

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Le jury est essentiellement féminin, cinq femmes et un homme. Ce mardi matin, la cour d’assises passe en revue l’enquête de personnalité de l’accusé né à Toulouse en 1992. Il a été question de l’adolescence très perturbée d’Hicham Ouakki, marquée par le décès de son père avec plusieurs vols avec violence et placement en famille d’accueil. L’avocat de la partie civile lit la déposition vieille de 10 ans d’un jeune homme à l’époque très en colère contre la société qui disait “avoir 0,001% de français (en lui)”.

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L’article dans son intégralité sur France Bleu


Dans son édition du 4 mai 2017 La Dépêche apportait quelques précisions sur le contexte de l'agression

À l’époque, Hicham Ouakki s’était, rapidement et à plusieurs reprises, «vanté» d’avoir «planté le gars» à Toulouse. Il justifie : «C’était pour protéger Driss». Ce week-end-là, trois autres personnes avaient été attaquées par le duo. Mais, pour Jérémy Roze, Arab nie sa participation et choque l’assistance : «Si on avait été deux, peut-être qu’aujourd’hui il ne serait pas mort». Ouakki, lui, assume l’agression de l’étudiant. «Comme pour les autres fois, c’est moi qui repérais la victime et Driss arrivait avec un couteau. Quand il (N.D.L.R., Jérémy Roze) nous a dépassés, je l’ai attrapé par l’épaule et on lui a dit de vider ses poches mais il ne s’est pas laissé faire et a essayé de mettre un coup à Driss. Le coup de couteau est parti.»

Le cœur de Jérémy Roze a continué de battre le temps pour lui de s’éloigner du lieu de son agression avant de s’écrouler sur un trottoir. «J’étais pas au courant qu’il était mort», rapporte Driss Arab qui ne nie pas avoir nettoyé le couteau plein de sang.

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