-Les universitaires ont été informés que le fait d’insister sur un bon niveau d’anglais écrit était discriminatoire.
-Certaines universités ont adopté des systèmes d’évaluation dits “inclusifs”.
-Le régulateur veut réduire l’écart entre le taux de réussite des étudiants blancs et noirs
Les étudiants universitaires ne seront pas pénalisés pour leurs fautes d’orthographe, de grammaire et de ponctuation aux examens, car cela serait “élitiste”.
Les universitaires ont été informés que le fait d’insister sur un bon anglais écrit constituait une discrimination à l’égard des minorités ethniques et de ceux qui ont fréquenté des écoles “peu performantes”.
Le Bureau des étudiants souhaite réduire l’écart entre la proportion d’étudiants blancs et noirs qui obtiennent de bons diplômes et réduire les taux d’abandon parmi les étudiants les plus pauvres.
En réponse à ces objectifs, certaines universités ont adopté ce que l’on appelle “l’évaluation inclusive”, un système plus souple qui avait d’abord été mis en place pour mettre sur un pied d’égalité les étudiants souffrant de troubles tels que la dyslexie.
À l’université de Hull, une nouvelle politique stipule que l’exigence d’un niveau élevé de maîtrise de l’anglais écrit peut être considérée comme “homogène, nord-européenne, blanche, masculine et élitiste”.
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