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12/05/2021

Tout comme l’année dernière, la prière de l’Aïd el-Fitr n’aura pas lieu dans les mosquées et les moussalas  (salles de prière) au Maroc, pays à 99 % musulman.

Telle est la décision prise par le ministère des Habous et des affaires islamiques. Au vu de la grande affluence des fidèles à cette occasion, il devient très difficile d’imposer les règles de distanciation sociale en ces temps de pandémie de Covid-19, a expliqué le ministère des Habous et des affaires islamiques.

bladi

05/05/2021

La fin du ramadan en France devrait intervenir aux alentours du 12 mai. À cette occasion, Pierre de Bousquet de Florian, directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur, demande aux préfets une attention particulière afin, compte tenu de la crise sanitaire, «de ne pas encourager les rassemblements et le non-respect du couvre-feu».

À ce titre, il demande également aux hauts fonctionnaires représentant le gouvernement dans les régions et départements de faire respecter les jauges d’accueil dans les mosquées. « Aucune dérogation ne peut être tolérée », précise le directeur de cabinet, de même « qu’aucune dérogation au couvre-feu ne doit être accordée en plus de celle concernant la prière de l’aube » (la première des cinq prières débutant avant la fin du couvre-feu, des mosquées peuvent déjà ouvrir avant 6 heures).

Beauvau ordonne qu’aucun établissement recevant du public non destiné à l’exercice du culte ne soit mis à disposition des musulmans. Traditionnellement, les municipalités louent ou prêtent des installations communales, stades, gymnases, etc., afin que les fidèles se réunissent pour fêter la fin du mois de ramadan. De même pour les rassemblements en plein air : aucune exception ne doit être admise, selon le ministère de l’Intérieur. « Les collectivités ne pourront donc faire droit aux demandes d’occupation du domaine public qui leur seront adressées. » […}]

Le Point

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